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A long dream road Moonlight Shadow (Crises)

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Création : 28/12/2011 à 17:16 Mise à jour : 21/02/2013 à 18:23

DARK PARADISE.

« C'est un peu comme aller au cinéma, mais sans pop-corn. Comme se maquiller avec un crayon mal taillé. Comme sortir de son lit bien chaud quand il fait encore nuit et qu'il pleut. Comme marcher avec un jean mouillé. Comme un mal de ventre constant et diffus. Comme cacher des larmes sous des éclats de rire feints. Comme chercher dans les bras d'autres ce que j'ai perdu au fond de tes yeux. Comme se dire que le temps a passé, qu'aujourd'hui il fait beau, et qu'il est temps d'oublier. Petit à petit. »

Welcome to you sweety

 
 
Bienvenue sur Heart-Vacancy ! ♥

Welcome to you sweety
 
Les textes tagués par le pseudo "heart-vacancy" sont de moi,
merci de ne pas y toucher !
 
Bonne visite et Bonne semaine à tous ! ♥
 
Tags : heart-vacancy
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#Posté le mercredi 28 décembre 2011 19:31

Modifié le mercredi 20 février 2013 17:08

J'ai l'impression que si je te perds un instant, je te perds pour toujours.

 
 
J'ai l'impression que si je te perds un instant, je te perds pour toujours.
 
 
Il y a une raison pour laquelle j'ai dit que je serais bien toute seule. Pas parce que je pensais que je serais heureuse toute seule, mais parce que je pensais que si j'aimais quelqu'un et que ça ne marchais pas, je ne pourrais pas m'en remettre. C'est plus facile d'être seule parce que, qu'est-ce qui se passe si on découvre qu'on a besoin d'amour et qu'on en a pas ? Et si on aime ça, si on compte dessus ? Et si on construit toute sa vie autour, et qu'un jour tout s'écroule, peut-on survivre à ce genre de souffrance ? Perdre l'amour c'est comme endommager un organe, c'est comme mourir. La seule différence, c'est que la mort a une fin, mais cette souffrance... Elle peut durer éternellement. 



Tags : greys anatomy, tumblr, titre : lolita pille
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#Posté le jeudi 21 février 2013 18:23

J'te raconterais des histoires, et tu feras semblant d'me croire.

 
 
J'te raconterais des histoires, et tu feras semblant d'me croire.


 
Qu'est-ce qui détermine quand le passé est fini et qu'on fait enfin peau neuve ? Ce n'est pas un jour sur le calendrier, ni un anniversaire, ni une nouvelle année. C'est un évènement  petit ou grand, quelque chose qui nous change et surtout, qui nous donne de l'espoir. Une nouvelle façon de vivre et de regarder le monde. Accepter les vieilles habitudes, et les souvenirs. Ce qui est important, c'est que nous n'arrêtions jamais de croire que nous avons droit à un nouveau départ. Mais c'est aussi important de se rappeler qu'au milieu de tout ce chantier, il y a quelques petites choses auxquelles ça ne vaut la peine de s'accrocher. 


Tags : Grey's anatomy, titre : rose, tumblr, paris, tour eiffel
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#Posté le jeudi 21 février 2013 18:17

Ton absence est une corde qui m'étrangle, vole mon souffle et me brûle la chair aussi fort que je me débats.



Ton absence est une corde qui m'étrangle, vole mon souffle et me brûle la chair aussi fort que je me débats.


J'y arrive pas. C'est pas faute d'avoir essayé pourtant, j'te jure. J'en ai fait des efforts pour te dégager de mon coeur, pour t'oublier. En vain. T'es toujours là, et je comprends pourquoi, je comprends pas pourquoi malgré toutes mes tentatives, t'es encore ancré dans mon coeur et mes pensées comme au premier jour. C'est dingue. Et franchement épuisant. C'est épuisant de devoir te voir tous les jours en feignant l'indifférence, d'être à tes côtés en jouant la comédie pour te faire croire que si, ça va super bien, que je suis passée à autre chose depuis longtemps, que tu ne me manques pas et que je vis très bien le fait de ne plus te parler, parce que t'as raison, c'était sans importance cette histoire, et puis le bonheur aurait fini par nous ennuyer, ça aurait pas marché. Alors je me fous autant que toi du passé tu vois, sans regrets ni rancune, je me fous de toi, je me fous de tout. Sauf que c'est pas vrai tout ça, c'est du bidon, un tissu de conneries que je m'oblige à avaler toute la journée en espérant finir par y croire un jour. La vérité, c'est que j'arrive même pas à te regarder dans les yeux de peur que ma tête et mon coeur n'explosent. C'est pour ça que ça me fatigue autant de tout faire pour que tu y crois, parce que c'est faux, et que je préférerais mourir plutôt que de te l'avouer. C'est
pour ça que je préfère t'éviter aussi, parce que c'est moins dur comme ça, moins fatiguant. Mais j'en ai tellement marre de devoir faire semblant à tout bout de champ, de ne pas pouvoir te dire ce que je pense vraiment, de ne pas en avoir le courage. Ça me tue, je te jure. Faudrait que tu le saches pourtant. Enfin je crois. J'aimerais que tu le saches en tous cas. Que tu saches que pour moi, cette histoire, c'était pas rien. C'était pas seulement une histoire d'amitié qu'a viré au désir puis au néant. Pour moi, ça a compté autant qu'une histoire d'amour standard j'imagine. J'dis j'imagine parce que j'en ai jamais vécu d'autres, alors je ne sais pas ce qui est standard et ce qui ne l'est pas, mais je crois pas que la nôtre était dans les normes. Elle était au-dessus, c'est évident. Quoiqu'il en soit, elle était plus importante pour moi que pour toi, ça me paraît évident aussi. Et ça, j'aimerais que tu le saches. Parce qu'alors, peut-être que tu comprendrais tout le reste. Comme pourquoi j'arrive plus à te regarder dans les yeux, ou pourquoi je te parle plus comme avant, ni même ne te parle tout court. Toutes ces choses qui font qu'on pourra jamais redevenir les amis qu'on était avant. Mais je n'aurais jamais le courage de te dire tout ça, alors il faut croire que je continuerais de lutter contre ce que je ressens encore, en restant la fille mystérieuse de ta classe avec qui il s'était passé quelque chose une fois. Il y a longtemps. Et finalement, c'est peut-être mieux comme ça.


Tags : Texte : heart-vacancy, tumblr, kate moss, titre : david lelait
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#Posté le mercredi 20 février 2013 17:35

Evidemment, pour elle et pour lui, cette histoire était originale, précieuse, rare. Elle était singulière. C'était leur histoire.


 
 
 Evidemment, pour elle et pour lui, cette histoire était originale, précieuse, rare. Elle était singulière. C'était leur histoire.
 
 
 Nous sommes trop différents, cela n'aurait jamais fonctionné ; dans une vie de couple ou dans une vie amoureuse. Je suppose que nous l'avons senti tous les deux. D'ailleurs, nous n'en avons jamais vraiment parlé. Tu sais, l'amour passe, s'abîme, se perd.
L'amitié était peut-être ce qu'il nous fallait pour faire durer ce lien entre nous.
Une amitié pleine de tendresse.
 
Tags : Titre : Philippe Besson, Photo : Romy Schneider et Alain Delon., texte : eva kavian
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#Posté le samedi 09 juin 2012 16:14

Modifié le mercredi 20 février 2013 16:54

Il ne faut jamais rencontrer les gens qu'on déteste, parce qu'on finit par les aimer.


 
 
 Il ne faut jamais rencontrer les gens qu'on déteste, parce qu'on finit par les aimer.
 
 
Je te déteste.
Je te déteste d'avoir pris tout ça pour un simple jeu, de m'avoir piétiné le coeur et retourné la tête. De quel droit t'as fait ça putain ?! Tu t'es cru tellement fort et invincible que tu t'es dit pourquoi pas, c'est ça ?! Pourquoi pas, je me faisais chier ces derniers temps, alors après tout j'y perds rien. Pourquoi pas?! Mais je vais te le dire moi, pourquoi pas!! Parce que t'avais pas le droit connard! Pas le droit de me faire ça, de me faire croire que tu tenais vraiment à moi et que tu me connaissais assez bien pour prétendre affectueusement que j'étais prévisible, alors que t'étais pas sûr de toi, que tu trouvais ça chelou, que tu voulais rien de sérieux et que tu m'as fait croire le contraire! T'avais pas le droit de te foutre de ma gueule comme tu l'as fait, avec lâcheté et égoïsme. T'avais pas le droit de m'abandonner aussi vite, alors que tu savais très bien que j'avais besoin de toi. Tu savais que j'étais vulnérable et fragile, que j'avais pas une vie facile ces derniers temps, mais toi, qu'est-ce que ça pouvait bien te foutre, c'était pas tes problèmes de toutes façons. Pauvre con. Je te déteste. Si tu savais comme je te déteste. Tu croyais vraiment que ça passerait tout seul, ta technique de mise à distance juste parce que t'avais pas le cran de m'en parler?! Et après, tu oses affirmer que tu me connais comme personne! Tu fais un bel abruti, vraiment. Et moi qui croyait en toi. Qui étais persuadée que t'étais différent, au-dessus de la mentalité puérile du lycée, au-dessus de tout ça, au-dessus des autres, alors qu'en réalité, t'es sûrement au moins six pieds sous terre en-dessous d'eux. Moi qui me suis bêtement laissé aller, qui ai lâché prise pour la première fois, parce que c'est ce que tout le monde me conseillait : " Allez, lâche-toi, abandonne tes peurs, regarde tes sentiments en face, arrête de lutter contre eux et souris-leur. L'amour est la plus grande richesse de la vie, laisse-toi aller, goûtes-y. Il ta'ime aussi, ça se voit dans la façon dont il a de te regarder, dans ce qu'il dit. Il t'aime mais il est aussi fier que toi, alors lance-toi, fais le premier pas, tu ne peux pas hésiter et avoir peur toute ta vie. Tu ne le regretteras pas, c'est promis. " Et moi je les ai écouté. Comme une conne, comme une pauvre fille naïve et désormais amoureuse, je l'ai fait. J'ai remballé mes peurs au fond de moi, j'ai ravalé ma fierté, et je me suis lancée. J'étais heureuse de l'avoir fait, heureuse de ce que ça donnait. Je le regrettais pas, ça non. Et puis tu t'es retourné, et sans que j'ai rien vu venir, je me suis pris une claque en pleine gueule. Au fond, je me doutais que cette histoire se terminerait comme ça. Si j'étais parfaitement honnête, j'irais même jusqu'à reconnaître que je m'en doutais depuis le début, à partir du moment où je me suis laissée aller, où j'ai commencé à t'aimer. En somme, je n'ai pas été réellement surprise. Juste anéantie. Et maintenant je dois tenir toute la journée près de toi, en t'ignorant, en souriant, comme si il ne s'était jamais rien passé, comme si je ne souffrais pas du mal que tu aurais pu causer. Comme si rien n'avait jamais compté, comme si c'était satisfaisant de consacrer ma vie à des futilités. Comme si j'étais pas faible. COmme si j'étais indifférente, alors qu'avec toi, j'ai jamais su l'être. Quelle conne j'ai été. Mais quelle conne! Je crois que je me déteste autant que je te déteste toi. Et c'est beaucoup, tu peux me croire. Je me déteste de les avoir écouté, alors que je savais qu'ils avaient tord, que j'avais raison. Je savais que tu me ferais souffrir, même si je ne savais pas comment. Vers la fin, je savais bien que quelque chose n'allait pas, malgré tes paroles qui m'affirmaient le contraire. Mais j'avais peur de te perdre. Je voulais pas, je savais que ça m'anéantirait. Et puis tu sais, quand on a peur de perdre quelqu'un, on préfère toujours écouter ses paroles rassurantes, même si on n'y croit pas au fond de soi. On dit tous qu'on déteste les mensonges, mais c'est des conneries. En réalité, on préfère juste être bernés plutôt que de devoir écouter des vérités désagréables. Moi je voulais pas la voir en face cette réalité, elle me faisait souffrir d'avance. Mais j'ai pris mon courage à deux mains, et je t'ai poussé à me la dire. Et là... Là je t'explique pas tout le mal que ta réponse a faite et qu'elle continue de faire. Ta réponse toute simple, comme si c'était normal, comme si c'était rien, comme si c'était une évidence pas importante, une futilité qu'on prendrait même pas la peine de dire si personne ne demandait. Tu sais, j'avais jamais ressenti tout ça avant. L'incompréhension, la douleur, la souffrance, la tristesse, la nostalgie, l'amour et la haine. Tout ce qui fait partie de la brûlûre amoureuse m'avait été épargné jusque là. Mais maintenant, je la connais. Je te cache pas que j'aurais préféré ne jamais la connaître, parce que je n'aime pas ce que je suis devenue, ce que je suis en train de devenir par ta faute. Une pauvre fille perdue, avec un coeur déjà déréglé, un amour dont personne ne veut, des peurs qui reviennent en flots, de la méfiance, de l'autodégradation et des soupirs en guise de sourires. Le chagrin d'amour, c'est un enfoiré, avec tout son pack d'émotions destructrices. Mais j'en profite quand même, parce que je sais qu'une fois la douleur et le manque partis, il ne restera plus rien. Rien à part du vide, un vide immense qui m'engloutira en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Alors je refoule mon chagrin, je vis avec et j'essaie de me relever toute seule. Parce que je sais que le vide, c'est pas beaucoup mieux.
 
 Il ne faut jamais rencontrer les gens qu'on déteste, parce qu'on finit par les aimer.
 
 
Tu m'as déçu tu sais. Je ne t'aurais jamais cru capable de me faire du mal, et pourtant, si. T'es qu'un pauvre type qui ne sait pas ce qu'il veut. Un de plus. Dire que je t'ai aimé. Et que malgré tout ce que je viens de dire, je continue de le faire. Ca me tue. Tu me tues. Tu me manques. Gros naze.
 
Tags : texte : heart-vacancy, Tumblr., titre : beigbeder
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#Posté le samedi 02 juin 2012 15:45

Modifié le samedi 02 juin 2012 16:00

Il n'y a plus d'hommes. On ne peut plus tomber amoureuse. Ou bien ils sont beaux, virils et infidèles... et on pleure! Ou bien ils sont vains, fats, impuissants... et on pleure! Ou bien encore ils sont crétins, collants, débiles... et on les fait pleurer! Et on pleure de rester seule à pleurer.

 
 Il n'y a plus d'hommes. On ne peut plus tomber amoureuse. Ou bien ils sont beaux, virils et infidèles... et on pleure! Ou bien ils sont vains, fats, impuissants... et on pleure! Ou bien encore ils sont crétins, collants, débiles... et on les fait pleurer! Et on pleure de rester seule à pleurer.
 
Encore une fois, je dois tourner la page. Une fois de plus, je vais devoir faire semblant d'avoir tout oublié.. Tes bras qui m'enlacent, ta bouche qui m'embrasse, ton odeur et ton regard moqueur. J'avais raison depuis le début en fait : tu es comme les autres. Et pourtant, j'y ai cru à notre histoire. J'étais persuadée qu'on déjouerait les prévisions, que notre bonheur rendrait les gens heureux. Mais ça ne se passe jamais vraiment comme ça devrait hein ? Au final, on finit toujours tôt ou tard par être déçue.. Je n'ai pas eu de chance, j'ai été déçue tôt. Trop tôt peut-être. Après tout l'espoir que j'avais misé sur nous, c'était encore trop tôt à l'évidence. Je ne sais pas comment je vais à présent pouvoir marcher tout droit sans ton sourire au bout. Je suis sur le point de tomber, mais personne ne s'en aperçoit. Et cette fois, non, ce n'est pas toi qui me rattrapera. Cette fois je vais devoir me débrouiller toute seule, me dépêtrer des souvenirs que tu m'as laissé, et avancer. Tu vas me manquer. En fait non, puisque tu me manques déjà. J'ai le coeur écrabouillé à cause de toi, mais je m'en remettrais va. A propos, je t'aimais. Je te le dis maintenant, .
 
Pauvre con, je le savais.
Tags : Titre : Katherine Pancol, texte : heart-vacancy, photo : sex and the city
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#Posté le samedi 02 juin 2012 13:50

Et j'ai laissé mon coeur loin d'ici, battant dans les bras de l'indécis.

 
 Et j'ai laissé mon coeur loin d'ici, battant dans les bras de l'indécis.
 
 
C'est là que j'ai compris que je l'avais avec moi le bonheur. C'était ça, c'était toi. Te voir rire, t'entendre chantonner, te laisser me taquiner, te regarder penser, et puis continuer de croire que malgré les sourires boudeurs, notre histoire durera toujours. C'est ça, le vrai bonheur, et j'ai une chance inouïe de pouvoir l'avoir avec moi. Alors je t'en prie, ne me l'arrache pas tout de suite. Je commence à vraiment l'aimer ce bonheur.. Presque de la même manière que je suis en train de tomber amoureuse de toi.
Presque.
Tags : heart-vacancy, Titre : Coeur de Pirate.
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#Posté le samedi 02 juin 2012 13:32

Modifié le mercredi 20 février 2013 17:11

Ses archives (69)

  •  Elle a juste besoin que quelqu'un la fasse se sentir mieux, que quelqu'un lui fasse ressentir que tout ira bien. sam. 02 juin 2012
  •  Ca n'est pas facile des retrouvailles : il s'en doutait. sam. 02 juin 2012
  •  N'empêche, ça fait mal d'être amoureuse, ça fait toujours mal comme ça ? sam. 02 juin 2012
  •  En fin de compte, il est pragmatique. Il s'intéresse à ce qui va ou peut advenir, pas à ce qui est advenu. Il croit que la nostalgie est forcément une tristesse. jeu. 03 mai 2012
  • La vie en général est comme la queue au supermarché : lente, pas pratique, et pleine de gens insupportables. jeu. 03 mai 2012
  •  On cherche l'amour, on croit le trouver. Puis on retombe. De haut. Mieux vaut tomber que ne jamais s'élever, pas vrai ? jeu. 03 mai 2012
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